C'est une vieille dame qui se rend à la SPA.
- Bonjour, je voudrais un gros chat.
- Gros comment ?
- Oh, pour quatre personnes.
Pages spéciales...
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Paroles et accords de guitare, lyrics and guitar chords, Texten und Gitarrenakkorde. Tous les fichiers présents dans cette page sont une création personnelle. All the files on this page are personal work.
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30 juin 2008
Un poème...
Guillaume Apollinaire
(Wilhelm Albert Vladimir Apollinaris de Wąż-Kostrowitcky)
1880 - 1918
(Wilhelm Albert Vladimir Apollinaris de Wąż-Kostrowitcky)
1880 - 1918
Le pont Mirabeau
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine.
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine.
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Guillaume APOLLINAIRE, par Marie LAURENCIN
Regards de passion...
Un très beau site de photos de nature: paysages, panoramas, animaux... tout cela fort bien photographié et fort bien présenté dans un site de qualité. De la très belle ouvrage!
Regards de passion
Différences...
Le jeu des différences. Cliquez à l'endroit où l'image de droite diffère de celle de gauche, et trouvez toutes les erreurs. Pas si simple, d'autant que le temps est limité! Et très bien fait surtout.
Différences
Le cimetière des célébrités...
Un site consacré aux célèbres disparus. L'idée est particulière, mais tant qu'à faire un site de biographies rapides, pourquoi pas? Le plus surprenant est en fait le Top 50 des décédés, il y en a que je ne pensais pas retrouver là!
jesuismort.com (j'aime beaucoup cette adresse!)
29 juin 2008
Elle m'a fait rire, mais bon...
Un petit garcon demande à sa soeur:
- Tu sais comment on fait les bébés, toi?
- Bien sûr, c'est facile!
- Alors vas-y, dis-moi...
- Eh bien c'est simple, alors le papa il met la petite graine dans le ventre de la maman...
- Et après?
- Et après, il la pousse bien au fond avec sa bite.
- Tu sais comment on fait les bébés, toi?
- Bien sûr, c'est facile!
- Alors vas-y, dis-moi...
- Eh bien c'est simple, alors le papa il met la petite graine dans le ventre de la maman...
- Et après?
- Et après, il la pousse bien au fond avec sa bite.
Un poème...
Arthur Rimbaud
1854 - 1891
1854 - 1891
Roman
I
On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans.
— Un beau soir, foin des bocks et de la limonade,
Des cafés tapageurs aux lustres éclatants!
— On va sous les tilleuls verts de la promenade.
Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin!
L’air est parfois si doux, qu’on ferme la paupière;
Le vent chargé de bruits, — la ville n’est pas loin, —
A des parfums de vigne et des parfums de bière...
II
— Voilà qu’on aperçoit un tout petit chiffon
D’azur sombre, encadré d’une petite branche,
Piqué d’une mauvaise étoile, qui se fond
Avec de doux frissons, petite et toute blanche.
Nuit de juin! Dix-sept ans! — On se laisse griser.
La sève est du champagne et vous monte à la tête...
On divague; on se sent aux lèvres un baiser
Qui palpite là, comme une petite bête...
III
Le cœur fou Robinsonne à travers les romans,
— Lorsque, dans la clarté d’un pâle réverbère,
Passe une demoiselle aux petits airs charmants,
Sous l’ombre du faux-col effrayant de son père...
Et, comme elle vous trouve immensément naïf,
Tout en faisant trotter ses petites bottines,
Elle se tourne, alerte et d’un mouvement vif...
— Sur vos lèvres alors meurent les cavatines....
IV
Vous êtes amoureux. Loué jusqu’au mois d’août.
Vous êtes amoureux. — Vos sonnets la font rire.
Tous vos amis s’en vont, vous êtes mauvais goût.
— Puis l’adorée, un soir, a daigné vous écrire...!
— Ce soir-là,... — vous rentrez aux cafés éclatants,
Vous demandez des bocks ou de la limonade...
— On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans
Et qu’on a des tilleuls verts sur la promenade.
I
On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans.
— Un beau soir, foin des bocks et de la limonade,
Des cafés tapageurs aux lustres éclatants!
— On va sous les tilleuls verts de la promenade.
Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin!
L’air est parfois si doux, qu’on ferme la paupière;
Le vent chargé de bruits, — la ville n’est pas loin, —
A des parfums de vigne et des parfums de bière...
II
— Voilà qu’on aperçoit un tout petit chiffon
D’azur sombre, encadré d’une petite branche,
Piqué d’une mauvaise étoile, qui se fond
Avec de doux frissons, petite et toute blanche.
Nuit de juin! Dix-sept ans! — On se laisse griser.
La sève est du champagne et vous monte à la tête...
On divague; on se sent aux lèvres un baiser
Qui palpite là, comme une petite bête...
III
Le cœur fou Robinsonne à travers les romans,
— Lorsque, dans la clarté d’un pâle réverbère,
Passe une demoiselle aux petits airs charmants,
Sous l’ombre du faux-col effrayant de son père...
Et, comme elle vous trouve immensément naïf,
Tout en faisant trotter ses petites bottines,
Elle se tourne, alerte et d’un mouvement vif...
— Sur vos lèvres alors meurent les cavatines....
IV
Vous êtes amoureux. Loué jusqu’au mois d’août.
Vous êtes amoureux. — Vos sonnets la font rire.
Tous vos amis s’en vont, vous êtes mauvais goût.
— Puis l’adorée, un soir, a daigné vous écrire...!
— Ce soir-là,... — vous rentrez aux cafés éclatants,
Vous demandez des bocks ou de la limonade...
— On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans
Et qu’on a des tilleuls verts sur la promenade.
Arthur Rimbaud en 1871, photo d'Etienne Carjat
Le ciel, le soleil et la mer...
Ouh la la! Elle doit dater de 1964, ou pas loin, cette chanson là! Trois ans, j'étais un peu jeune, mais je sûr que ma soeur aînée a dragué là-dessus... Camarades guitaristes, voilà un petit pdf de 6 ko pour avoir les paroles et les accords de guitare de cette chanson de circonstance "Le ciel, le soleil et la mer", de François Deguelt.
Petit cadeau: le clip! :-)
Petit cadeau: le clip! :-)
Allongés sur la plage, les cheveux dans les yeux
Et le nez dans le sable, on est bien tous les deux.
C'est l'été, les vacances, oh mon Dieu, quelle chance!
Il y a le ciel, le soleil et la mer.
Il y a le ciel, le soleil et la mer.
Madness Redeemer...
Un film de loufdingue! :-) Kill Bill au royaume du jeu vidéo! Le principal protagoniste de ce film veut tuer le shériff. Et ça défouraille dans tous les coins, je crois que je n'avais jamais vu une animation flash aussi sanglante!
Madness Redeemer
Panoramas...
Des dizaines de panorams tous plus superbes les uns que les autres! Villes, montagnes, il y en a pour tous les goûts (voir la liste sur la droite) accumulés depuis des années. Un régal! Une bonne connexion est requise, certains panoramas sont lourds à charger.
Panoramas
28 juin 2008
Sport, guerre et religion...
Emmanuel LE ROY LADURIE (Figaro - L'Actualité 03/07/1998)
« Le football, écrivait Pierre Bourgeade dans un intéressant ouvrage publié en 1981, c'est la guerre, poursuivie par d'autres moyens.» La guerre? Sans aucun doute, et cela d'autant plus que le « foot» présente, par rapport aux vrais conflits militaires, l'avantage de n'être qu'assez peu meurtrier, malgré quelques «bavures», dont certaines furent spécialement tragiques, comme chacun sait.
La guerre, donc, mais pourquoi pas aussi sa sœur jumelle, la religion, à laquelle l'excellent Bourgeade, dans son analyse, ne semble pas octroyer beaucoup d'importance. Le mot même de « Coupe », Coupe du monde ou Coupe de France, devrait pourtant nous mettre sur la piste. Il n'est pas un chrétien qui ne se souvienne d'avoir entendu à la messe, à l'instant de l'Elévation, l'illustre prière eucharistique : « Prenez et buvez-en tous, car ceci est la coupe incomparable, la coupe de mon sang, le sang de l'Alliance nouvelle et éternelle, qui sera versé pour vous et pour la multitude en rémission des péchés. Vous ferez cela en mémoire de moi. »
La «coupe» eucharistique, hélas, connaît une certaine décadence depuis un siècle ou deux, du fait de la laïcisation ou « sécularisation » des sociétés de notre temps. La coupe sportive, par contre, progresse au rythme même où décline le vase prédécesseur et chrétien. C'est en Angleterre, selon le vieux Pierre Larousse, que les choses ont commencé, voici bien longtemps. Pendant toute une période, les courses britanniques n'eurent d'autre motivation que le plaisir ou la gloire.
Sous le règne de la reine Anne (morte en 1714), les turfistes commencèrent à se passionner pour les récompenses et les paris... Outre certains prix de faible valeur, on distribuait aussi des coupes d'une valeur de 50 livres (au XIXe siècle, 200 ou 300 livres sterling). Parmi les principales coupes distribuées dans les courses de Grande-Bretagne aux propriétaires des chevaux vainqueurs, on citait en premier lieu la coupe d'or Ascot, car les courses d'Ascot étaient le rendez-vous de l'aristocratie, et le souverain s'y rendait avec tout le pompeux appareil de la cour.
Outre cette Golden Coup, il se courait aussi, avant la guerre de Crimée (1854), une autre coupe d'un grand prix : cette coupe d'or donnée en 1844 par l'empereur de Russie Nicolas portait le nom de coupe de l'empereur. Les courses de Goodwood offraient aussi des prix considérables, notamment une coupe d'or : la coupe de Chesterfield était également célèbre. La fondation de ce prix était due à lord Chesterfield, grand amateur de courses. Il faut citer encore la coupe de Dancaster, qui se courait sur l'hippodrome du même nom, dans le comté de York.
Cet usage de distribuer des coupes aux vainqueurs s'est introduit ensuite dans les courses hippiques de la France. Le Grand Prix de Paris de 100 000 francs or était couru au bois de Boulogne dans la saison d'été; il s'accompagnait d'un objet d'art offert par Napoléon III, et cet objet était généralement une coupe.
Nous eûmes aussi vers 1900 la Coupe Davis, compétition internationale de tennis, et à partir de la Première Guerre mondiale, la Coupe de France de football. Ajoutons que tous les lecteurs du dictionnaire Robert ont encore en mémoire la phrase d'un immortel roman de Claude Courchay : « Les rues se vidèrent pour la finale de la Coupe du monde. »
D'une coupe l'autre? aurait dit Céline. La question est en effet posée. La Coupe du monde, encore elle, n'est-elle pas devenue, de nos jours, une espèce d'eucharistie collective, de grand-messe immense et universelle, un culte orgiaque et païen, faisant penser à certaines scènes de King Kong, film justement célèbre ; un culte auquel participent les téléspectateurs par dizaines de millions, cependant que sa rivale, la véritable coupe eucharistique, aurait tendance, elle, à se réfugier dans la pénombre propice des églises, des chapelles, des sacristies.
Le vin de messe continue, certes, chaque jour que Dieu fait, à se transformer, au gré des croyants, en sang de la personne divine crucifiée voici 2000 ans. La Coupe du monde, de ce point de vue hématologique, n'est pas toujours en reste, et il lui arrive, de temps à autre, ce qui n'est pas le cas lors de nos messes de villages, de passer de la métaphore sanguine à la réalité cruelle du saint sacrifice du foot. De l'un des matchs les plus essentiels disputés au cours de ces dernières semaines, on retiendra surtout que fut tristement répandu, à Lens, par les soins de voyous venus du Nord, le sang d'un gendarme assassiné, ou peu s'en fallait.
La Coupe du monde aurait-elle évincé la coupe du Christ ? Et si oui, l'humanité a-t-elle vraiment gagné au change ?
« Le football, écrivait Pierre Bourgeade dans un intéressant ouvrage publié en 1981, c'est la guerre, poursuivie par d'autres moyens.» La guerre? Sans aucun doute, et cela d'autant plus que le « foot» présente, par rapport aux vrais conflits militaires, l'avantage de n'être qu'assez peu meurtrier, malgré quelques «bavures», dont certaines furent spécialement tragiques, comme chacun sait.
La guerre, donc, mais pourquoi pas aussi sa sœur jumelle, la religion, à laquelle l'excellent Bourgeade, dans son analyse, ne semble pas octroyer beaucoup d'importance. Le mot même de « Coupe », Coupe du monde ou Coupe de France, devrait pourtant nous mettre sur la piste. Il n'est pas un chrétien qui ne se souvienne d'avoir entendu à la messe, à l'instant de l'Elévation, l'illustre prière eucharistique : « Prenez et buvez-en tous, car ceci est la coupe incomparable, la coupe de mon sang, le sang de l'Alliance nouvelle et éternelle, qui sera versé pour vous et pour la multitude en rémission des péchés. Vous ferez cela en mémoire de moi. »
La «coupe» eucharistique, hélas, connaît une certaine décadence depuis un siècle ou deux, du fait de la laïcisation ou « sécularisation » des sociétés de notre temps. La coupe sportive, par contre, progresse au rythme même où décline le vase prédécesseur et chrétien. C'est en Angleterre, selon le vieux Pierre Larousse, que les choses ont commencé, voici bien longtemps. Pendant toute une période, les courses britanniques n'eurent d'autre motivation que le plaisir ou la gloire.
Sous le règne de la reine Anne (morte en 1714), les turfistes commencèrent à se passionner pour les récompenses et les paris... Outre certains prix de faible valeur, on distribuait aussi des coupes d'une valeur de 50 livres (au XIXe siècle, 200 ou 300 livres sterling). Parmi les principales coupes distribuées dans les courses de Grande-Bretagne aux propriétaires des chevaux vainqueurs, on citait en premier lieu la coupe d'or Ascot, car les courses d'Ascot étaient le rendez-vous de l'aristocratie, et le souverain s'y rendait avec tout le pompeux appareil de la cour.
Outre cette Golden Coup, il se courait aussi, avant la guerre de Crimée (1854), une autre coupe d'un grand prix : cette coupe d'or donnée en 1844 par l'empereur de Russie Nicolas portait le nom de coupe de l'empereur. Les courses de Goodwood offraient aussi des prix considérables, notamment une coupe d'or : la coupe de Chesterfield était également célèbre. La fondation de ce prix était due à lord Chesterfield, grand amateur de courses. Il faut citer encore la coupe de Dancaster, qui se courait sur l'hippodrome du même nom, dans le comté de York.
Cet usage de distribuer des coupes aux vainqueurs s'est introduit ensuite dans les courses hippiques de la France. Le Grand Prix de Paris de 100 000 francs or était couru au bois de Boulogne dans la saison d'été; il s'accompagnait d'un objet d'art offert par Napoléon III, et cet objet était généralement une coupe.
Nous eûmes aussi vers 1900 la Coupe Davis, compétition internationale de tennis, et à partir de la Première Guerre mondiale, la Coupe de France de football. Ajoutons que tous les lecteurs du dictionnaire Robert ont encore en mémoire la phrase d'un immortel roman de Claude Courchay : « Les rues se vidèrent pour la finale de la Coupe du monde. »
D'une coupe l'autre? aurait dit Céline. La question est en effet posée. La Coupe du monde, encore elle, n'est-elle pas devenue, de nos jours, une espèce d'eucharistie collective, de grand-messe immense et universelle, un culte orgiaque et païen, faisant penser à certaines scènes de King Kong, film justement célèbre ; un culte auquel participent les téléspectateurs par dizaines de millions, cependant que sa rivale, la véritable coupe eucharistique, aurait tendance, elle, à se réfugier dans la pénombre propice des églises, des chapelles, des sacristies.
Le vin de messe continue, certes, chaque jour que Dieu fait, à se transformer, au gré des croyants, en sang de la personne divine crucifiée voici 2000 ans. La Coupe du monde, de ce point de vue hématologique, n'est pas toujours en reste, et il lui arrive, de temps à autre, ce qui n'est pas le cas lors de nos messes de villages, de passer de la métaphore sanguine à la réalité cruelle du saint sacrifice du foot. De l'un des matchs les plus essentiels disputés au cours de ces dernières semaines, on retiendra surtout que fut tristement répandu, à Lens, par les soins de voyous venus du Nord, le sang d'un gendarme assassiné, ou peu s'en fallait.
La Coupe du monde aurait-elle évincé la coupe du Christ ? Et si oui, l'humanité a-t-elle vraiment gagné au change ?
Un poème...
René Char
1907 - 1988
1907 - 1988
Allégeance
Dans les rues de la ville, il y a mon amour.
Peu importe où il va dans le temps divisé.
Il n'est plus mon amour: chacun peut lui parler.
Il ne se souvient plus qui, au juste, l'aima.
Il cherche son pareil dans le voeu des regards.
L'espace qu'il parcourt est ma fidélité.
Il dessine l'espoir, puis, léger, l'éconduit.
Je vis au fond de lui comme une épave heureuse.
A son insu, ma liberté est son trésor!
Dans le grand méridien où s'inscrit son essor,
Ma solitude se creuse.
Dans les rues de la ville, il y a mon amour.
Peu importe où il va dans le temps divisé.
Il n'est plus mon amour: chacun peut lui parler.
Il ne se souvient plus qui, au juste, l'aima
Et l'éclaire de loin pour qu'il ne tombe pas!
Dans les rues de la ville, il y a mon amour.
Peu importe où il va dans le temps divisé.
Il n'est plus mon amour: chacun peut lui parler.
Il ne se souvient plus qui, au juste, l'aima.
Il cherche son pareil dans le voeu des regards.
L'espace qu'il parcourt est ma fidélité.
Il dessine l'espoir, puis, léger, l'éconduit.
Je vis au fond de lui comme une épave heureuse.
A son insu, ma liberté est son trésor!
Dans le grand méridien où s'inscrit son essor,
Ma solitude se creuse.
Dans les rues de la ville, il y a mon amour.
Peu importe où il va dans le temps divisé.
Il n'est plus mon amour: chacun peut lui parler.
Il ne se souvient plus qui, au juste, l'aima
Et l'éclaire de loin pour qu'il ne tombe pas!
Photo de René Char.
Lifted...
Deux conditions sont nécessaires: aimer la science-fiction, et aimer rigoler, si on veut pleinement apprécier ce merveilleux court-métrage d'animation de Pixar. Conseil: écoutez le son jusqu'à l'ultime seconde du générique!
Juan Carlos Federico...
Cet artiste argentin crée et peint des chimères composées d'outils, de bouts de tissu, de tout et de n'importe quoi. C'est très drôle et très bien fait, et parfois pointe une légère inquiétude.
Juan Carlos Federico
Big Blue Ball...
Peter Gabriel and Friends bientôt dans les bacs à disques! On le trouve déjà sur le net car il est sorti aux Etats-Unis, mais Peter Gabriel est un des rares dont j'achèterai toujours les CD...
27 juin 2008
Vague à l'âme...
Toujours cette étrange impression mêlée à la fatigue, en fin d'année scolaire, ce sentiment d'avoir mené à bon port un petit groupe d'enfants, de leur avoir beaucoup donné, d'avoir beaucoup reçu d'eux aussi... Une certaine satisfaction du devoir accompli, de la joie de les voir grandis et prêts à passer à une autre étape de leur vie, un peu de tristesse aussi de les voir partir.
J'aurai toujours, j'espère, cette joie-là. Surtout qu'on n'enlève pas ça de mon métier!
J'aurai toujours, j'espère, cette joie-là. Surtout qu'on n'enlève pas ça de mon métier!
"Mon maître..."
Un poème...
Marceline Desbordes-Valmore
1786 - 1859
1786 - 1859
Qu'en avez-vous fait ?
Vous aviez mon coeur,
Moi, j'avais le vôtre:
Un coeur pour un coeur;
Bonheur pour bonheur!
Le vôtre est rendu,
Je n'en ai plus d'autre,
Le vôtre est rendu,
Le mien est perdu!
La feuille et la fleur
Et le fruit lui-même,
La feuille et la fleur,
L'encens, la couleur:
Qu'en avez-vous fait,
Mon maître suprême?
Qu'en avez-vous fait,
De ce doux bienfait?
Comme un pauvre enfant
Quitté par sa mère,
Comme un pauvre enfant
Que rien ne défend,
Vous me laissez là,
Dans ma vie amère;
Vous me laissez là,
Et Dieu voit cela!
Savez-vous qu'un jour
L'homme est seul au monde?
Savez-vous qu'un jour
Il revoit l'amour?
Vous appellerez,
Sans qu'on vous réponde;
Vous appellerez,
Et vous songerez!...
Vous viendrez rêvant
Sonner à ma porte;
Ami comme avant,
Vous viendrez rêvant.
Et l'on vous dira:
«Personne!... elle est morte.»
On vous le dira;
Mais qui vous plaindra?
Vous aviez mon coeur,
Moi, j'avais le vôtre:
Un coeur pour un coeur;
Bonheur pour bonheur!
Le vôtre est rendu,
Je n'en ai plus d'autre,
Le vôtre est rendu,
Le mien est perdu!
La feuille et la fleur
Et le fruit lui-même,
La feuille et la fleur,
L'encens, la couleur:
Qu'en avez-vous fait,
Mon maître suprême?
Qu'en avez-vous fait,
De ce doux bienfait?
Comme un pauvre enfant
Quitté par sa mère,
Comme un pauvre enfant
Que rien ne défend,
Vous me laissez là,
Dans ma vie amère;
Vous me laissez là,
Et Dieu voit cela!
Savez-vous qu'un jour
L'homme est seul au monde?
Savez-vous qu'un jour
Il revoit l'amour?
Vous appellerez,
Sans qu'on vous réponde;
Vous appellerez,
Et vous songerez!...
Vous viendrez rêvant
Sonner à ma porte;
Ami comme avant,
Vous viendrez rêvant.
Et l'on vous dira:
«Personne!... elle est morte.»
On vous le dira;
Mais qui vous plaindra?
Portrait de Marceline Desbordes-Valmore, par Nadar.
Kevin Sloan...
D'après son site, Kevin Sloan fait du "réalisme magique"... Je ne vois pas trop ce que ça veut dire, mais en tout cas sa peinture est intéressante. Beaucoup de natures mortes, et rien de très dérangeant, mais c'est très agréable à regarder!
Kevin Sloan
26 juin 2008
Un poème...
Paul Verlaine fut certainement, je crois, le plus grand poète de langue française. N'importe quel sujet lui était bon, il en faisait... tout un poème, avec un art inimitable et une délicatesse unique. C'est bien pourquoi vous le retrouvez si fréquemment dans les billets de ce blog, et le retrouverez encore...
Paul Verlaine
1844 - 1896
L'heure exquise
La lune blanche
Luit dans les bois;
De chaque branche
Part une voix
Sous la ramée...
Ô bien-aimée.
L'étang reflète,
Profond miroir,
La silhouette
Du saule noir
Où le vent pleure...
Rêvons, c'est l'heure.
Un vaste et tendre
Apaisement
Semble descendre
Du firmament
Que l'astre irise...
C'est l'heure exquise.
La lune blanche
Luit dans les bois;
De chaque branche
Part une voix
Sous la ramée...
Ô bien-aimée.
L'étang reflète,
Profond miroir,
La silhouette
Du saule noir
Où le vent pleure...
Rêvons, c'est l'heure.
Un vaste et tendre
Apaisement
Semble descendre
Du firmament
Que l'astre irise...
C'est l'heure exquise.
Portrait de Paul Verlaine par Gustave Courbet
(Zürich, Galerie Chichio Haller)
Mark Surloff...
Mark Surloff fait des images en noir et blanc très dépouillées, à la limite du graphisme. Des photographies réalistes mais très contrastées, très particulières. Et un excellent coup d'oeil!
Mark Surloff
Ashes and snow...
Vous entrez dans un autre monde... Le talent de Gregory Colbert consiste à nous faire croire à la réalité de ses visions. Mais ne vous y trompez pas, aucune photo n'a fait l'objet d'une retouche numérique.
Ashes and snow
25 juin 2008
Un poème...
Louisa Siefert
1845 - 1877
1845 - 1877
Jalousie
I
Ah! toi, l’indifférent, tu souffres à ton tour:
L’angoisse t’a mordu, les peines sont venues;
Tu trembles et tu crains en attendant le jour,
Et la nuit te remplit de terreurs inconnues.
J’ai vu luire en tes yeux, par un brusque retour,
Des larmes, jusque-là vainement retenues;
Et toi, qui ris de tout, toi, qui ris de l’amour,
Pour sonder l’avenir tu regardes les nues.
Tout n’est donc pas mensonge en nos maux ici-bas,
Que tu subis aussi, toi, dont le cœur la nie,
De la loi de douleur la sanglante ironie?
Et tu peux donc aimer, toi, qui ne m’aimes pas?
Mais quel déchirement qu’une telle pensée,
Dans ma blessure encor, quelle épine enfoncée!
II
Oh! Ce sonnet me pèse à l’égal d’un remord!
Que je m’occupe ou non, que je veille ou je rêve,
Ce souvenir ne peut me laisser paix ni trêve,
Car pour moi chaque vers est un serpent qui mord.
L’épreuve est salutaire alors qu’elle rend fort
Et d’un souffle puissant jusqu’au ciel nous enlève,
Mais tout ressentiment transperce comme un glaive,
Et ces angoisses-là sont angoisses de mort.
Arrière donc, vipère à la langue empestée,
Amertume égoïste et vile, pour jamais
Retourne au gouffre noir qui t’avait enfantée!
Moi, je veux vivre, aimer et sentir désormais
Tout ce que peut souffrir une âme généreuse
Qui demande au devoir le secret d’être heureuse.
III
Dans les champs reverdis passe un air pur et doux,
Une blanche vapeur estompe la vallée;
Toute ligne s’efface aux horizons plus mous,
La nature aujourd’hui de tendresse est voilée.
Adieu, sombre chagrin, tristesse aux pleurs jaloux,
De votre étreinte encor je suis tout ébranlée.
Après poisons du cœur, bien loin enfuyez-vous,
Laissez venir la paix à mon âme troublée.
Je n’ai que trop senti vos aiguillons maudits,
Et je veux maintenant que tout ce que je dis
Soit trempé de douceur et de mélancolie,
Comme aujourd’hui l’on voit la lumière affaiblie
Glisser avec langueur jusqu’aux prés odorants
Et changer l’ombre humide en rayons transparents.
I
Ah! toi, l’indifférent, tu souffres à ton tour:
L’angoisse t’a mordu, les peines sont venues;
Tu trembles et tu crains en attendant le jour,
Et la nuit te remplit de terreurs inconnues.
J’ai vu luire en tes yeux, par un brusque retour,
Des larmes, jusque-là vainement retenues;
Et toi, qui ris de tout, toi, qui ris de l’amour,
Pour sonder l’avenir tu regardes les nues.
Tout n’est donc pas mensonge en nos maux ici-bas,
Que tu subis aussi, toi, dont le cœur la nie,
De la loi de douleur la sanglante ironie?
Et tu peux donc aimer, toi, qui ne m’aimes pas?
Mais quel déchirement qu’une telle pensée,
Dans ma blessure encor, quelle épine enfoncée!
II
Oh! Ce sonnet me pèse à l’égal d’un remord!
Que je m’occupe ou non, que je veille ou je rêve,
Ce souvenir ne peut me laisser paix ni trêve,
Car pour moi chaque vers est un serpent qui mord.
L’épreuve est salutaire alors qu’elle rend fort
Et d’un souffle puissant jusqu’au ciel nous enlève,
Mais tout ressentiment transperce comme un glaive,
Et ces angoisses-là sont angoisses de mort.
Arrière donc, vipère à la langue empestée,
Amertume égoïste et vile, pour jamais
Retourne au gouffre noir qui t’avait enfantée!
Moi, je veux vivre, aimer et sentir désormais
Tout ce que peut souffrir une âme généreuse
Qui demande au devoir le secret d’être heureuse.
III
Dans les champs reverdis passe un air pur et doux,
Une blanche vapeur estompe la vallée;
Toute ligne s’efface aux horizons plus mous,
La nature aujourd’hui de tendresse est voilée.
Adieu, sombre chagrin, tristesse aux pleurs jaloux,
De votre étreinte encor je suis tout ébranlée.
Après poisons du cœur, bien loin enfuyez-vous,
Laissez venir la paix à mon âme troublée.
Je n’ai que trop senti vos aiguillons maudits,
Et je veux maintenant que tout ce que je dis
Soit trempé de douceur et de mélancolie,
Comme aujourd’hui l’on voit la lumière affaiblie
Glisser avec langueur jusqu’aux prés odorants
Et changer l’ombre humide en rayons transparents.
Louisa Siefert
Aidez cette petite fille !
Il faut vraiment aider cette petite fille!
Envoyez simplement ce message à 5 millions de personnes de votre entourage...
Cette chaîne a été commencée en 1625 par un moine cistercien moldave éleveur de morues, dans le but de sauver Thérèse, une petite fille gravement malade! Aujourd'hui cette petite fille a 379 ans et elle est atteinte d'un cancer des testicules et d'une fièvre affreuse de la grande thyroïde contractée lors d'un viol par un cerf en période de brame en forêt de Rambouillet à proximité d'une marre souillée par des déchets radioactifs malencontreusement tombés d'un avion furtif.
De plus, lors d'un séjour au Zimbabwe, elle s'est fait bouffer une jambe par un ours africain; espèce extrêmement rare qui a la particularité de sodomiser ensuite ses victimes.
Alors renvoyez s'il vous plaît ce message à tout votre entourage! Et cela vous portera chance. La preuve:
En 1912, un jeune Irlandais fit suivre ce message par SMS. Dans la semaine, il se vit offrir une place pour la croisière inaugurale du plus prestigieux transatlantique britannique, direction New York. Lors de ce voyage il découvrit l'amour, les sorbets, et les bienfaits de la natation.
Ne gardez pas ce message sur votre ordinateur plus de 16 minutes sans quoi vous serez maudit à jamais. La preuve:
Il y a un peu plus de 2000 ans, un homme reçut ce message sur son ordinateur portable. Comme sa batterie était vide et qu'il ne pouvait pas la recharger vu qu'il n'y avait pas encore d'électricité, il fut crucifié avec des clous rouillés et on lui mit sur la tête une casquette ridicule.
Ça fait tout de même réfléchir.
Pour Thérèse, pour vous, pour moi, pour tous vos amis, ne brisez pas cette chaîne.
Merci!
Et si vous n'avez pas encore compris...
Je veux remercier tous ceux qui m'ont envoyé des e-mails chaînes pendant toutes ces années. Car, grâce à votre bonté:
1. J'ai arrêté de boire du Coca depuis que j'ai découvert que ça sert à enlever les taches de tartre dans les toilettes.
2. Je ne vais plus au cinéma tellement j'ai peur de m'asseoir sur une aiguille infectée par le virus du SIDA.
3. Je pue car je ne mets plus de déodorant qui peut provoquer le cancer.
4. Je ne stationne plus ma voiture dans aucun parking car j'ai peur qu'on me donne un échantillon de parfum pour me droguer et puis me violer.
5. Je ne réponds plus au téléphone car on peut me demander d'appeler un numéro long et stupide et après je vais recevoir une facture infernale avec des appels en Ouganda, à Singapour ou Tokyo.
6. Je ne bois plus de boisson en canette car je peux attraper une maladie.
7. Quand je sors en boîte, je ne regarde aucune fille, même si elle est très belle car j'ai peur qu'elle m'emmène à l'hôtel et qu'elle me drogue pour m'enlever un rein afin de le revendre au marché noir.
8. J'ai versé aussi toutes mes économies sur le compte de Amy Bruce, une pauvre petite fille qui était malade et à l'hôpital, plus ou moins 7000 fois. (C'est drôle cette petite fille a toujours 8 ans depuis 1995...)
9. Mon GSM Nokia gratuit n'est jamais arrivé, ni les entrées que j'avais gagnées pour des vacances payées à Disneyland.
10. J'ai remis 21 fois la boum que j'organise le jour ou je reçois ma caisse gratuite de "Veuve Clicquot" et les copains invités me tirent tous la gueule.
11. J'ai inscrit mon prénom parmi 3000 autres sur une pétition et j'ai sauvé une espèce menacée d'écureuil.
12. J'ai su 170 fois que MSN allait supprimer mon compte; mais bizarrement ne l'a jamais fait.....
13. Je connais la recette pour ne plus être célibataire: il suffit d'écrire le prénom d'une personne sur un papier en pensant très fort à elle puis de se gratter le cul en tournant dans le sens des aiguilles d'une montre autour d'une Renault 4L.
14. J'ai accumulé environ 3000 ans de malheur et je suis mort 67 fois à cause de tous les chaînes e-mail que je n'ai pas renvoyées.
A tous un GRAND MERCI !
IMPORTANT: Si tu n'envoies pas ce message dans les prochaines 10 secondes à au moins huit millions de personnes, un dinosaure bleu viendra bouffer ta famille demain à 17h30.
Envoyez simplement ce message à 5 millions de personnes de votre entourage...
Cette chaîne a été commencée en 1625 par un moine cistercien moldave éleveur de morues, dans le but de sauver Thérèse, une petite fille gravement malade! Aujourd'hui cette petite fille a 379 ans et elle est atteinte d'un cancer des testicules et d'une fièvre affreuse de la grande thyroïde contractée lors d'un viol par un cerf en période de brame en forêt de Rambouillet à proximité d'une marre souillée par des déchets radioactifs malencontreusement tombés d'un avion furtif.
De plus, lors d'un séjour au Zimbabwe, elle s'est fait bouffer une jambe par un ours africain; espèce extrêmement rare qui a la particularité de sodomiser ensuite ses victimes.
Alors renvoyez s'il vous plaît ce message à tout votre entourage! Et cela vous portera chance. La preuve:
En 1912, un jeune Irlandais fit suivre ce message par SMS. Dans la semaine, il se vit offrir une place pour la croisière inaugurale du plus prestigieux transatlantique britannique, direction New York. Lors de ce voyage il découvrit l'amour, les sorbets, et les bienfaits de la natation.
Ne gardez pas ce message sur votre ordinateur plus de 16 minutes sans quoi vous serez maudit à jamais. La preuve:
Il y a un peu plus de 2000 ans, un homme reçut ce message sur son ordinateur portable. Comme sa batterie était vide et qu'il ne pouvait pas la recharger vu qu'il n'y avait pas encore d'électricité, il fut crucifié avec des clous rouillés et on lui mit sur la tête une casquette ridicule.
Ça fait tout de même réfléchir.
Pour Thérèse, pour vous, pour moi, pour tous vos amis, ne brisez pas cette chaîne.
Merci!
Et si vous n'avez pas encore compris...
Je veux remercier tous ceux qui m'ont envoyé des e-mails chaînes pendant toutes ces années. Car, grâce à votre bonté:
1. J'ai arrêté de boire du Coca depuis que j'ai découvert que ça sert à enlever les taches de tartre dans les toilettes.
2. Je ne vais plus au cinéma tellement j'ai peur de m'asseoir sur une aiguille infectée par le virus du SIDA.
3. Je pue car je ne mets plus de déodorant qui peut provoquer le cancer.
4. Je ne stationne plus ma voiture dans aucun parking car j'ai peur qu'on me donne un échantillon de parfum pour me droguer et puis me violer.
5. Je ne réponds plus au téléphone car on peut me demander d'appeler un numéro long et stupide et après je vais recevoir une facture infernale avec des appels en Ouganda, à Singapour ou Tokyo.
6. Je ne bois plus de boisson en canette car je peux attraper une maladie.
7. Quand je sors en boîte, je ne regarde aucune fille, même si elle est très belle car j'ai peur qu'elle m'emmène à l'hôtel et qu'elle me drogue pour m'enlever un rein afin de le revendre au marché noir.
8. J'ai versé aussi toutes mes économies sur le compte de Amy Bruce, une pauvre petite fille qui était malade et à l'hôpital, plus ou moins 7000 fois. (C'est drôle cette petite fille a toujours 8 ans depuis 1995...)
9. Mon GSM Nokia gratuit n'est jamais arrivé, ni les entrées que j'avais gagnées pour des vacances payées à Disneyland.
10. J'ai remis 21 fois la boum que j'organise le jour ou je reçois ma caisse gratuite de "Veuve Clicquot" et les copains invités me tirent tous la gueule.
11. J'ai inscrit mon prénom parmi 3000 autres sur une pétition et j'ai sauvé une espèce menacée d'écureuil.
12. J'ai su 170 fois que MSN allait supprimer mon compte; mais bizarrement ne l'a jamais fait.....
13. Je connais la recette pour ne plus être célibataire: il suffit d'écrire le prénom d'une personne sur un papier en pensant très fort à elle puis de se gratter le cul en tournant dans le sens des aiguilles d'une montre autour d'une Renault 4L.
14. J'ai accumulé environ 3000 ans de malheur et je suis mort 67 fois à cause de tous les chaînes e-mail que je n'ai pas renvoyées.
A tous un GRAND MERCI !
IMPORTANT: Si tu n'envoies pas ce message dans les prochaines 10 secondes à au moins huit millions de personnes, un dinosaure bleu viendra bouffer ta famille demain à 17h30.
Chromasia...
Un blog photographique d'agence... Attention! Nous sommes là dans le haut de gamme! De nouvelles images chaque jour, et que du top. Une adresse nécessaire et indispensable.
Chromasia
L' Equipe Junior...
Vos enfants aiment le sport? Voici le site de L'Equipe Junior, le journal L'Equipe pour les enfants, à lire gratuitement en ligne tous les mercredis et les samedis. Au sommaire: des reportages multimédias, des articles, les scores mais aussi des jeux. Tous les mots difficiles sont expliqués. L'inscription est obligatoire mais gratuite.
L' Equipe Junior
Blagues Carambar...
Voici Carambar, le site non-officiel! Le site est moche, digne du net d'il y a dix ans, mais en un sens il est irremplaçable:
Charlotte dit à son père :
- Je suis certaine que j'aurai zéro en maths.
- Ah bon ?
- C'est aussi sûr que deux et deux font cinq !
Vous voyez pourquoi? :-)
Charlotte dit à son père :
- Je suis certaine que j'aurai zéro en maths.
- Ah bon ?
- C'est aussi sûr que deux et deux font cinq !
Vous voyez pourquoi? :-)
Blagues Carambar
Extraits du journal intime d'un chat...
...
Jour n° 152:
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets pendouillant au bout d'une ficelle. Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées. La seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et la maigre satisfaction que je retire de temps à autre de la destruction d'un meuble. Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 161:
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi. Il faudra que j'essaie encore depuis le haut des escaliers. Dans l'espoir d'induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 165:
J'ai décapité une souris et leur en ai apporté le corps, afin de leur faire comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de terreur. Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon petit chat. Hmmm... Ça ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168:
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus, il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée "shampooing". Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide? Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes dents.
Jour n° 171:
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils appellent "bière". Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison de ma réclusion était mon pouvoir "allergisant". Il va falloir que j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse l'utiliser à mon avantage.
Jour n° 174:
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental. D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres mouvements. Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité est assurée. Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps.
...
Jour n° 152:
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets pendouillant au bout d'une ficelle. Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées. La seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et la maigre satisfaction que je retire de temps à autre de la destruction d'un meuble. Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 161:
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi. Il faudra que j'essaie encore depuis le haut des escaliers. Dans l'espoir d'induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 165:
J'ai décapité une souris et leur en ai apporté le corps, afin de leur faire comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de terreur. Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon petit chat. Hmmm... Ça ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168:
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus, il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée "shampooing". Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide? Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes dents.
Jour n° 171:
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils appellent "bière". Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison de ma réclusion était mon pouvoir "allergisant". Il va falloir que j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse l'utiliser à mon avantage.
Jour n° 174:
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental. D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres mouvements. Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité est assurée. Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps.
...
24 juin 2008
Un poème...
Charles Cros
1842 - 1888
1842 - 1888
Sonnet
Moi, je vis la vie à côté,
Pleurant alors que c’est la fête.
Les gens disent: « Comme il est bête! »
En somme, je suis mal coté.
J’allume du feu dans l’été,
Dans l’usine je suis poète;
Pour les pitres je fais la quête.
Qu’importe ! J’aime la beauté.
Beauté des pays et des femmes,
Beauté des vers, beauté des flammes,
Beauté du bien, beauté du mal.
J’ai trop étudié les choses;
Le temps marche d’un pas normal;
Des roses, des roses, des roses!
Moi, je vis la vie à côté,
Pleurant alors que c’est la fête.
Les gens disent: « Comme il est bête! »
En somme, je suis mal coté.
J’allume du feu dans l’été,
Dans l’usine je suis poète;
Pour les pitres je fais la quête.
Qu’importe ! J’aime la beauté.
Beauté des pays et des femmes,
Beauté des vers, beauté des flammes,
Beauté du bien, beauté du mal.
J’ai trop étudié les choses;
Le temps marche d’un pas normal;
Des roses, des roses, des roses!
Charles Cros
Switch Zoo...
Bon, c'est très bête, mais ça m'a bien amusé, et ça devrait passionner vos enfants! Inventez un animal impossible à partir des pièces proposées... Commencez par choisir votre habitat et votre animal de base (cliquez sur le bouton "actualiser" de votre navigateur si l'animation ne se charge pas), puis... défoulez-vous! :-)
Switch Zoo
The Double Yolker...
Voilà le difficile marathon d'un oeuf qui ne veut pas finir à la coque... Une animation de trois minutes efficace et drôle!
The Double Yolker
23 juin 2008
Un poème...
Paul-Jean Toulet
1867 - 1920
Le sable où nos pas ont crié, l’or, ni la gloire,
Qu’importe, et de l’hiver le funèbre décor.
Mais que l’amour demeure, et me sourie encor
Comme une rose rouge à travers l’ombre noire.
1867 - 1920
Le sable où nos pas ont crié, l’or, ni la gloire,
Qu’importe, et de l’hiver le funèbre décor.
Mais que l’amour demeure, et me sourie encor
Comme une rose rouge à travers l’ombre noire.
Paul-Jean Toulet et sa soeur.
Olaf et Korpatas...
Le corbeau et le renard... C'est tellement idiot que ça en devient hilarant! :-) Attention, ne vous faites pas avoir, il n'y a pas qu'une animation, mais plusieurs qui se succèdent!
Olaf et Korpatas
Alveolata Noctiluca Neonlight...
C'est votre souris qui commande: selon votre manière de la déplacer et vos clics, la musique et les effets lumineux se répondront de façons diverses pour vous composer de superbes feux d'artifices de lumières et de couleurs...
Alveolata Noctiluca Neonlight
Piaaaa! Piaaaaa !
Cette extraordinaire webcam est installée dans le nichoir d'un couple de faucons crécerelle, près de Bâle, en Suisse. Et ça gigote là-dedans!
Fauconneaux
22 juin 2008
Just like heaven...
Si vous regardiez "Raapiiidooo!" dans les années 80, vous connaissez cette chanson par coeur, évidemment! Une des plus belles chansons de l'époque. Copains guitaristes, voilà un petit pdf de 8 ko pour avoir les paroles et les accords de guitare de "Just like heaven", de The Cure.
« Show me how you do that trick,
the one that makes me scream » she said,
« The one that makes me laugh » she said,
and threw her arms around my neck.
the one that makes me scream » she said,
« The one that makes me laugh » she said,
and threw her arms around my neck.
Un poème...
Clément Marot
1496 - 1544
1496 - 1544
Quand j'ai pensé en vous, ma bien-aimée
Quand j'ai pensé en vous, ma bien-aimée,
Trouver n'en puis de si grande beauté:
Et de vertu seriez plus estimée,
Qu'autre qui soit, si n'était cruauté.
Mais pour vous aimer loyaument
J'ai récompense de tourment:
Toutefois quand il vous plaira,
Mon mal par merci finira.
Dès que mon oeil aperçut votre face,
Ma liberté du tout m'abandonna,
Car mon las coeur, espérant votre grâce,
De moi partit, et à vous se donna.
Or s'est-il voulu retirer
En lieu dont ne se peut tirer,
Et vous a trouvée sans si,
Fors qu'êtes Dame sans merci.
Votre rigueur veut doncques que je meure,
Puisque pitié votre coeur ne remord.
Si n'aurez-vous (de ce je vous asseure)
Los ni honneur de si cruelle mort:
Car on ne doit mettre en langueur
Celui qui aime de bon coeur:
Trop est rude à son ennemi,
Qui est cruel à son ami.
Quand j'ai pensé en vous, ma bien-aimée,
Trouver n'en puis de si grande beauté:
Et de vertu seriez plus estimée,
Qu'autre qui soit, si n'était cruauté.
Mais pour vous aimer loyaument
J'ai récompense de tourment:
Toutefois quand il vous plaira,
Mon mal par merci finira.
Dès que mon oeil aperçut votre face,
Ma liberté du tout m'abandonna,
Car mon las coeur, espérant votre grâce,
De moi partit, et à vous se donna.
Or s'est-il voulu retirer
En lieu dont ne se peut tirer,
Et vous a trouvée sans si,
Fors qu'êtes Dame sans merci.
Votre rigueur veut doncques que je meure,
Puisque pitié votre coeur ne remord.
Si n'aurez-vous (de ce je vous asseure)
Los ni honneur de si cruelle mort:
Car on ne doit mettre en langueur
Celui qui aime de bon coeur:
Trop est rude à son ennemi,
Qui est cruel à son ami.
Portrait de Clément Marot, par Corneille de Lyon
(Musée du Louvre, Paris)
Mers et plages...
Les vacances (ouf!) approchent à grands pas, je vais pouvoir oublier l'école. En attendant, faites comme moi, profitez des milliers de photos concernant mers,plages, océans, ports, etc, de ce site. Histoire de se mettre dans le bain. Les images sont classées par thème, voyez au bas de la page.
Mers et plages
15 ans, t'es con, et t'en es fier en plus !
Un site inénarrable! Si vous voulez rigoler un bon coup, promenez-vous sur ce site très inventif. Cela ne vole pas toujours très haut, mais comme les concepteurs avouent eux-mêmes qu'ils en ont honte, ça passe...
15 ans
La tribu...
Non, il ne s'agit pas d'un site sur les adjectifs, mais d'une animation en noir et blanc très drôle mettant en scène quatre gorilles et un écureuil. Pauvre écureuil! Euh... mettez le son, c'est indispensable.
La tribu
Telescope Game...
Encore un jeu addictif, mais celui-ci, s'il est simple au début, se complique sérieusement à mesure qu'on change de niveau! Eeeeeh oui, c'est un jeu où que dedans y faut réfléchir; je sais que ce n'est pas à la mode, la réflexion, surtout dans les milieux gouvernementaux ou syndicaux... Les explications données sont très claires.
Telescope Game
Pick up ! Colour up !
Un jeu publicitaire, certes, mais qui provoque une certaine addiction! Il se joue avec les flèches du clavier, et il s'agit de colorer plus vite que son adversaire les biscuits salés sur lesquels on sautille... Oui, je sais, c'est idiot, mais ce genre de petit jeu est vraiment prenant. Il est possible de jouer à deux!
Pick up ! Colour up !
21 juin 2008
Fête de la musique... ou fête du merguez ?
La fête de la Musique a bien dégénéré depuis vingt-cinq ans, puisque plus personne n'y fait de musique! Ce ne sont que concerts de rock bâclés et aux sonos puissantes, et vendeurs de merguez. Et puis franchement je n'ai pas vraiment le coeur à la joie avec les exactions quotidiennes des types qui sont à la tête de l'état, et l'adoption de la Directive de la honte. Evitez les grandes villes, essayez les villages. Peut-être que là...
Sung Kwan Ma...
Sung Kwan Ma est un photographe professionnel new-yorkais qui nous propose sur son site quelques images venues du monde entier. Son sujet de prédilection, c'est la rue et ses habitants, les gens qui passent... C'est la vie et c'est passionnant!
Sung Kwan Ma
Terre Orange...
Jean-Yves Jourdain nous propose une image chaque jour, et expose sur ce site ses photos (de bonnes à remarquables!), ses travaux de peintre, quelques points de vue... Un site indispensable à mon sens pour qui aime l'image.
Terre Orange
Jack Jack Attack !
Vous vous souvenez des Indestructibles, cette famille de super-héros animée par Pixar? La division court métrage de chez Pixar a eu la bonne idée de faire un petit addendum au film avec le court Jack Jack Attack... ou la fameuse soirée de baby-sitting du petit dernier de la famille super-héros qu'on ne fait qu'entendre au téléphone dans le film. C'est tout bonnement à se rouler par-terre! Drôlissime et réglé comme du papier à musique!
Jack Jack Attack version française (la page peut être longue à charger)
20 juin 2008
Un poème...
Norge ou Géo Norge (Georges Mogin)
1898 - 1990
1898 - 1990
En forêt
La fille au garçon
Parlait de façon
Si douce.
On dirait sous bois
Un petit patois
De source.
La main jeune d'elle
En celle de lui
Gîtant
Si frêle en son nid,
C'est une hirondelle
Enfant.
Le meilleur de Dieu,
Des temps et des lieux,
C'est eux.
Ineffable, étrange
Façon loin des cieux
D'être anges.
Ne bougez plus, même
Pour baiser leur front,
Comètes.
Ça vaut bien la peine
Que les choses rondes
S'arrêtent!
J'exagère? Ô doux,
Ce lit de fougères
C'est tout!
Cet heureux cénacle
Est le seul miracle
Au monde.
L'amie et l'amant,
Tout le firmament
Autour!
Grondez-le, tambours:
On ne vit que pour
L'amour!
La fille au garçon
Parlait de façon
Si douce.
On dirait sous bois
Un petit patois
De source.
La main jeune d'elle
En celle de lui
Gîtant
Si frêle en son nid,
C'est une hirondelle
Enfant.
Le meilleur de Dieu,
Des temps et des lieux,
C'est eux.
Ineffable, étrange
Façon loin des cieux
D'être anges.
Ne bougez plus, même
Pour baiser leur front,
Comètes.
Ça vaut bien la peine
Que les choses rondes
S'arrêtent!
J'exagère? Ô doux,
Ce lit de fougères
C'est tout!
Cet heureux cénacle
Est le seul miracle
Au monde.
L'amie et l'amant,
Tout le firmament
Autour!
Grondez-le, tambours:
On ne vit que pour
L'amour!
Portrait de Géo Norge
Thématiques artistiques...
Aujourd'hui encore on trouve des choses extraordinaires par pur hasard en se promenant sur le net.
Vous vous doutez que je m'y déplace souvent et avec une certaine dextérité. Hier je recherchais un portrait du poète Klingsor (que je n'ai pas trouvé, sinon en minuscule vignette) et je suis tombé, sans me faire mal je vous rassure, sur cette page merveilleuse de la Réunion des Musées Nationaux, page que je ne connaissais pas mais qui a immédiatement pris une place de choix dans mes favoris.
Il s'agit d'une page regroupant de façon thématique, ce qui est rarissime sur le net, des reproductions d'oeuvres d'art anciennes ou modernes, tableaux, sculptures, photos, objets, mobilier, bref tout ce qu'on peut trouver dans les musées! C'est un pur régal!
Vous vous doutez que je m'y déplace souvent et avec une certaine dextérité. Hier je recherchais un portrait du poète Klingsor (que je n'ai pas trouvé, sinon en minuscule vignette) et je suis tombé, sans me faire mal je vous rassure, sur cette page merveilleuse de la Réunion des Musées Nationaux, page que je ne connaissais pas mais qui a immédiatement pris une place de choix dans mes favoris.
Il s'agit d'une page regroupant de façon thématique, ce qui est rarissime sur le net, des reproductions d'oeuvres d'art anciennes ou modernes, tableaux, sculptures, photos, objets, mobilier, bref tout ce qu'on peut trouver dans les musées! C'est un pur régal!
Pour ma femme et moi qui sommes des amateurs toujours curieux, c'est une grande joie d'avoir accès à des pages de ce genre. Alors... je partage! :-) Courez-y vite! Je recommande chaudement aux amateurs, mais pas aux enfants, les pages consacrés à l'érotisme...
Thématiques artistiques
Retouchez vos images "en ligne"...
Dans la lignée du billet précédent, voici Pixenate. Vous n'avez pas de logiciel de retouche sous la main, mais vous devez néanmoins retoucher une image: corriger des "yeux rouges", augmenter le contraste, exacerber les couleurs... Voici un site qui vous permet de le faire, rapidement et efficacement, "en ligne".
Bien sûr, vous n'avez pas accès aux fonctions évoluées des logiciels spécialisés, mais tel quel le site peut rendre quelques services.
Pixenate
Bien sûr, vous n'avez pas accès aux fonctions évoluées des logiciels spécialisés, mais tel quel le site peut rendre quelques services.
Pixenate
A gauche, cliquez sur Choose your image to edit. Avec le bouton "Parcourir", récupérez votre image sur votre ordinateur, puis cliquez sur Upload. Si vous voulez utiliser une image qui est sur le réseau internet, vous pouvez aussi insérer son adresse dans le cadre Import to PXN8. Voilà, vous n'avez plus qu'à éditer avec les icônes. Lorsque vous aurez terminé, vous pourrez sauvegarder le résultat de votre travail en cliquant sur Save to disk.
Imprimez "en ligne" les pages web...
Quand vous voulez imprimer une page que vous avez dénichée sur le net, vous vous retrouvez souvent avec des menus ou d'autres choses que ne vous sont pas nécessaires, ou qui ne vous permettent pas d'imprimer en A4, et qui en plus vous mangent trop de cette encre que vous payez à prix d'or!
"Zapage" est un service d'impression en ligne gratuit sans coupures ni pages gaspillées. Il vous permet de recadrer, ou de sélectionner une partie de page, et donc de n'imprimer que ce qui vous intéresse. C'est extrêmement simple à utiliser, et donc indispensable!
"Zapage" est un service d'impression en ligne gratuit sans coupures ni pages gaspillées. Il vous permet de recadrer, ou de sélectionner une partie de page, et donc de n'imprimer que ce qui vous intéresse. C'est extrêmement simple à utiliser, et donc indispensable!
Commencez par entrer l'adresse de la page. Sélectionnez la partie qui vous intéresse, puis recadrez, ou encore agrandissez à l'aide du curseur, ou déplacez à l'aide des flèches. Lorsque vous êtes satisfait, cliquez sur "Imprimer la page", et zou!
www.zapage.com
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