Achat de culottes neuves... de temps en temps ça se fait! :-) Même si, comme pour l'achat de brosses à dents, de savons, ou de dentifrices, les français ne sont pas champions, et n'hésitent pas à se promener avec des culottes trouées et tellement lavées qu'elles en sont devenues transparentes. Ce n'est pas mon cas!
C'est l'occasion d'évoquer une grand-mère. Une personne qui toute sa vie a été pauvre. Quand je dis pauvre, ce n'est pas une image, ni ce qu'aujourd'hui certains imaginent être pauvre. C'est n'avoir dans l'assiette que ce qu'on a glané (et forcément volé) ou braconné dans la journée. C'est n'avoir sur le dos que des guenilles, rapiécées, retournées... Vous voyez ce que je veux dire? Je parle évidemment à ceux qui parmi vous sont issus de familles modestes, de journaliers ou autre.
Dominique me racontait que sa maman offrait régulièrement à sa propre mère, avec le peu de moyens financiers dont elle disposait, une chemise de nuit et des sous-vêtements neufs. Et c'est avec une même régularité que cette pauvre femme surtout ne les mettait pas, mais les rangeait soigneusement à l'abri pour le cas où il lui faudrait aller à l'hôpital, ou pour... être enterrée dignement.
Voilà. Est-il besoin d'être plus explicite? Si vous avez les larmes aux yeux, c'est peut-être que vous aussi vous avez fréquenté la vraie pauvreté. Je ne parle pas bien sûr de la noir misère endémique de certains pays, africains notamment. Mais bien de cette misère tellement proche de nous qu'elle devrait rester prioritaire dans le traitement des inégalités de ce pays, parce qu'elle pourrait si simplement être endiguée. Regardez autour de vous. Balayons devant notre porte. Et préoccupons-nous un peu moins des besoins et des tourments des riches pour un peu plus nous pencher sur les BESOINS des pauvres.
C'est l'occasion d'évoquer une grand-mère. Une personne qui toute sa vie a été pauvre. Quand je dis pauvre, ce n'est pas une image, ni ce qu'aujourd'hui certains imaginent être pauvre. C'est n'avoir dans l'assiette que ce qu'on a glané (et forcément volé) ou braconné dans la journée. C'est n'avoir sur le dos que des guenilles, rapiécées, retournées... Vous voyez ce que je veux dire? Je parle évidemment à ceux qui parmi vous sont issus de familles modestes, de journaliers ou autre.
Dominique me racontait que sa maman offrait régulièrement à sa propre mère, avec le peu de moyens financiers dont elle disposait, une chemise de nuit et des sous-vêtements neufs. Et c'est avec une même régularité que cette pauvre femme surtout ne les mettait pas, mais les rangeait soigneusement à l'abri pour le cas où il lui faudrait aller à l'hôpital, ou pour... être enterrée dignement.
Voilà. Est-il besoin d'être plus explicite? Si vous avez les larmes aux yeux, c'est peut-être que vous aussi vous avez fréquenté la vraie pauvreté. Je ne parle pas bien sûr de la noir misère endémique de certains pays, africains notamment. Mais bien de cette misère tellement proche de nous qu'elle devrait rester prioritaire dans le traitement des inégalités de ce pays, parce qu'elle pourrait si simplement être endiguée. Regardez autour de vous. Balayons devant notre porte. Et préoccupons-nous un peu moins des besoins et des tourments des riches pour un peu plus nous pencher sur les BESOINS des pauvres.
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